#517420 - 11/08/2024 à 22:25
Un obsession dévorante sans fin est née
Prêt d'un lieu-dit perdu sous une nuit sans lune...
Je me perds peu à peu vers des pensées empoisonnées.
Ô Amour, ne me me prends plus pour une prune.
Ton blizarre m'a plongé dans un magma bouillonnant.
Sa lave étincellante va bientôt remonter à la surface.
Le volcan éveillée qui te fait face
Ne s'éteint plus. Il jaillit régulièrement de mes entrailles,
Prête à changer mes élans de vie en rivières de ténèbres,
Je vomit cet amour généré par tes pairs,
Seule contre tous, en ces temps funèbres.
Rejoins moi vite ! Brûlons ensemble dans mes draps!
Lèvres contre lèvres, mon corps duveté chatouillera
Les moindres recoins de ta peau basamée.
#517457 - 12/08/2024 à 16:12
Adnah8, merci pour votre poème qui me donne chaud !
Je me lance à mon tour mais c’est mignon, c’est soft.
Nolwenn chante. Insuffle un léger et joyeux pétillement au corps et au cœur. Occulte, un moment, la monotonie du quotidien, sa pâleur. Navigue entre émotions pures et mélodies entraînantes. Et je n’ai qu’une envie. L’écouter à l’infini. Elle chante à l’enfant qui sommeille en chacun, à son âme malicieuse. Nimbe les kiosques parisiens de sa voix chaleureuse. Galvanise le public grâce à sa générosité toute puissante. Elle chante. Accompagnée de sa guitare, souvent, elle a un talent évident et me rend si vivante.
#517473 - 12/08/2024 à 20:11
Titre : l'une sans l'autre
En rute dans les escaliers, elles se titillent du regard.
Le sourire léger mais le cœur alourdi par la peur du refus,
Elle se frôlent sans peine, maniant l'art de l'humour...
Ensemble, elles enjambent les marches du paradis.
Arrivée chez sa récente amie qu'elle semble connaître
Depuis toujours, elle met fin aux plaisanterie,
S'approche d'elle, lui vole un baiser tant attendu.
Son amie récente lui rend au quintuple cette surprise.
Enlacées de la tête au pieds,
Les deux amantes suffoquent
Sous leurs frénétiques caresses.
Leurs jouissance, forte mais tendre,
Les plongent dans l'amour infinie
Où l'orgasme éclatent de toute beauté...
#517843 - 16/08/2024 à 21:56
À la recherche de ce qu'il se fait rare,
J'écris aujourd'hui sur le tard.
Magie à chaque heure, vois-tu cette lueur,
L'or qui brille dans l'écrin de nos coeurs.
Si tu sens sa présence, malgré l'absence,
Notre rencontre serait-elle magnificience.
Je te cherche, toi, quel part, et en attendant de te voir, je te souhaite bonsoir.
#517865 - 17/08/2024 à 06:48
Mendiante de ton Amour, J hurle mes silences
Pour toi, je Jure, Je mens, je fais semblant de renaître en ton Absence
Et quand tu es là, je fais disparaitre mes plus sombres pensées
Pour que notre Amour et nos coeurs Blessés
Soient à nouveau réunis par le Fil invisible de nos sentiments oubliés
........
Quand la caresse de nos Souvenirs
Revient me torturer l Âme et me faire Souffrir
J implore l univers en posant un genoux à Terre
Et je deroule notre histoire, comme, on revient en Arrière
Pour que dans nos corps à Corps, je puisse Basculer
Vers nos chemins entrecroisés
Qui ne se sont jamais Quittés
Et qu enfin, nous puissions, nous Retrouver
Comme le dernier Salut de mes Baisers
Qui sur tes ombres,, n ont jamais cessés de se Poser
.....
Voici une petite inspiration Matinale 😍😍
> Citation de **Lutecephile** #517457
> Citation de **Yinyang555** #517843
> Citation de **Adnah8** #517473
Merci pour vos Belles Plumes et vos textes magnifiques
Tous mes Baisers de Branleuse 😍 😍
#517867 - 17/08/2024 à 08:17
> Citation de **RêveuseParis** #517865
Titre: Des silences bavards
Enfouie dans une planque mutique,
Tu ris de moi à l'imparfait, peut-être au conditionnel,
Un vilain présent qui fuit mon entendement.
Bon week-end à toutes les poétesses de 18 à 120 ans..
#517872 - 17/08/2024 à 14:38
Un petit poème sur le pouce
Le temps, sur nous pleure Il nous inonde de son malheur Heureusement que son ami, le Soleil, lui réchauffe le cœur Grâce à ses rayons protecteurs Il lui permet de changer d’humeur Et de rendre le monde meilleur
#517879 - 17/08/2024 à 19:51
> Citation de **Lutecephile** #517872
Moi aussi je vais écrire un poème sur la météo ^^
Titre : la menace
Orage, toi le saigneur généré par les caprices d'un temps incontrôlable,
Tes éclairs destructeurs ne me font plus peur.
Tu peux gronder au loin et assourdir de très près.
Si ta foudre me réduit en cendre, comme le Phoenix, je renaîtrai,
Loin de ce climat menaçant que tout le monde redoute..
Toi, ciel en colère et toi Terre-Mer qui me retient prisonnière,
Liez-vous sans démolir, développez-vous
Sans ces millions de volts qui terrasse des arbres solitaires.
En haut une atmosphère frigorifique et en bas,
Une chaleur étouffante qui boursouffle les doigts Des Cassandres prédictrices, incomprises et gonflées..
De cet écart jaillit des précipitations violentes
Que nul n'apprécie : plantes chétive, arbres mal enracinés, insectes intrépides, chèvres sans abris sûre
Et moi, celle qui ne te craint plus orage infernale...
#517881 - 17/08/2024 à 20:36
👏👏👏👏Adnah8, tu arrives à magnifier un moment désagréable !
#517891 - 18/08/2024 à 09:06
Le bruit sourd du métro ne semblait pas la déranger. Elle était absorber par ce bouquin, ses cheveux blond légèrement emmêler couvrais son dos nue. Je pouvais voir sa nuque habillée de quelques grains de beauté. Ses jambes dénuder semblais scintiller de l’été qui venais de passer. Elle était sensuellement poétique. Elle ne faisais rien mais sa seule présence faisais pointer. Elle tendais ma respiratio, agitait mon imagination.
Ses boucles d’oreilles bleu et rouge caressais gentillement son épaule, comme j’aurais voulu caresser sa.. avec ma langue. Cette langue ce que passais entre mes dents en la regardant. Elle éternua une, puis deux fois, elle me donnais un aperçu de ce que serais ses gémissements au creux de mon oreille. Elle leva les yeux un instant, ma tel vu regarder ses seins à travers ce petit haut bleu quasi transparent ? Elle me souria comme pour me dire, je sais que tu me veux. Elle était hypnotisante, et je le savais elle aimais ça.
#518068 - 22/08/2024 à 21:37
Titre : Tout lui va...
Elle accueillerait tout de l'être tant aimé.
Sodomie humiliante ou relation secret très défense.
L'amour justifie cette docilité si pathétique
Car il crée un bonheur qui n'est pas interchangeable.
Alors, elle tait sa souffrance délibérée
Pour une égoïste tant idolâtrée.
Elle se damnerai pour un simple téléphone rose
Qui une fois achevé, la laisse seule, morose.
Conciliante mais aimante, elle clame son amour
Fière et sans entrave si ce n'est celui de sa dure chérie, le vrai!!
Ô ciel, sauve là des tartares de sa dévotion.
Elle perd un élément indispensable à sa vie de martyre
En se réfugiant dans une passion enivrante
Qui nécessite une grande force divine!!!
#518770 - 08/09/2024 à 17:40
Un sourire peut être attaché à un souvenir. Un sourire peut faire souffrir. Un sourire peut amener le rire. Un sourire peut provoquer un soupir. Aujourd’hui, un sourire m’a redonné le goût de vivre
#519171 - 16/09/2024 à 14:56
Comme une âme blessée je cherche cette perle, qui pourra m'enivrer de ce doux parfum qu'ont appel l'amour, de cette main je chercherai la tienne, pour que nos deux mains n'en forme qu'une et me redonnera cette étincelle, emmène moi sur ce chemin, ce chemin de cœur et refais moi découvrir se magnifique bonheur.
#521811 - 26/10/2024 à 16:49
Énième espoir...
Comme une ange tombée du ciel,
Tu as fait une merveilleuse apparition dans ma vie de martyre.
La lueur de tes yeux dont je n'ai su capter le filtre
M'a prodiguée une joie inattendue, intense, indélébile...
Je me sédate au son de ta voix clair-obscure,
Me laissant bercer par des promesses
D'une série de lendemain plus propice.
J'ai envie de croire en un avenir qui me fera oublier
Un passé ensorceleur, ce tueur qui mutilait jadis mon corps d'innocente.
Le présent avec toi me métamorphosera en une fée
Qui exaucera tes désirs les plus insensés
Ou bien des souhaits qui te combleront à merci.
Quand seras-tu prête à ouvrir ton joli cœur?
Le miens te supplie de m'aimer un minimum...
#521838 - 26/10/2024 à 21:46
La dernière histoire
Dans une soirée vibrante, deux amies en ébullition,
Les pintes levées, la joie en éruption,
Au billard, les boules dansent, éclats de lumière,
Mais au fond de moi, un malaise, une colère.
Un garçon s'avance, visage étranger,
Il se glisse entre nous, un sourire à partager,
En trio, nous jouons, l'instant devient lourd,
Dans ce jeu d'ombres, je sens le détour.
Je lui tends mon numéro, geste irréfléchi,
Dans l'ombre, le regard de ma copine s'assombrit,
Elle lit dans mes yeux cette trahison,
Une déception amère, un frisson de rébellion.
Avant de partir, elle se fige, et son silence crie,
Son corps attend un geste, une promesse, une vie,
Je devine son désir, un baiser ardent,
Mais le poids de mes choix pèse comme un torrent.
Je l'aurais embrassée, avec fougue, avec passion,
Mais l'ombre du numéro obscurcit la raison,
Tiraillée entre loyauté et un instant volé,
Dans cette nuit troublée, nos âmes enchevêtrées.
Ainsi, au crépuscule, nos chemins se fracturent,
Une complicité blessée, un goût d'amertume qui murmure,
Le billard se tait, les souvenirs s'effacent,
Dans le silence, un regret, une promesse qui se casse.
#522287 - 02/11/2024 à 17:19
C'est entre eux que je m'évade chaque soir,
Peu importe où ou quand, je glisse vers l'espoir.
Appréciant un moment de liberté naissante,
Quand les étoiles disparaissent, remplacées par une lueur ardente.
Je m'intègre si bien, les soucis s'évaporent,
Je danse sans fin, oubliant les torts.
Des pirouettes fragiles, frôlant l'abîme un instant,
Dans ce sanctuaire où tout semble bienveillant.
Je cours, je cours, comme à travers des champs dorés,
Parlant à des amis imaginaires, dans ce doux secret.
Sous un ciel plus pur que le reflet de mes yeux,
Je vole si vite que pour un moment, je plane, heureux.
Captivé par un regard qui me retient,
Je erre, hypnotisé, dans cette danse animée.
Aujourd'hui, ce regard est ma sortie,
Mais aussi les mailles d'un filet qui m'empêchent de m'échapper.
Dans ce havre, je me perdais sans crainte,
Quand le monde ne dictait pas mon destin, sans cœur.
Je riais, je volais, comme un enfant insouciant,
Comme mon frère aujourd'hui, avec une innocence rayonnante.
#522557 - 08/11/2024 à 18:34
4 Saisons.
L’hiver déjà, étreint ma maison
Je vois encore le premier bourgeon.
Ce jour, où dans ma vie tu es entré
Pour toujours, je te voyais rester.
On a vécu comme deux ados
Guitare, sport, ciné, moto.
Nous nous conjuguions au pluriel
L’amour s’écrit Il plus Elle.
De toi j’ai tout aimé
Mon âme t’appartenait.
Le printemps invite au bonheur,
Ta peau, ta bouche, je les connais par cœur.
De tes yeux bleus tu m’as mangée,
De tout mon corps tu t’es enivré.
Le soleil brille, c’est plein été
On a tout le temps pour profiter.
Le ciel est beau, le ciel est pur,
Pourtant l’automne est là, j’suis presque sûre.
Des coups de vents et des tempêtes
Ont éclaté au dessus de nos têtes.
Trop fort trop haut
Ont chanté les oiseaux
Que le froid de l’hiver séparera bientôt.
Plus qu’une page, un chapitre de ma vie
Putain de vent, j’ai pas compris, l’année est finie !?
Ce calendrier je vais le ranger
Mais je ne veux pas l’abîmer
De son éclat de mes souvenirs,
De toi, de nous, j’veux tout retenir
La vie sans toi je dois écrire
Mais de toi, de nous, je ne veux rien ternir.
#522874 - 11/11/2024 à 20:23
Voici l'automne,
La saison où tout tombe...
Le soleil, le jour, la pluie, les feuilles, les bras parfois, par manque d'espoir ou de fatigue...
C'est la saison du retour à la terre, du repli. Ce qui était debout courbe l'échine jusqu'à rejoindre le sol et rejoindre l'hibernation.
Mais le temps n'est pas encore au repos, on n'en ai pas encore là.
La nature a comme un regain, un dernier coup de main avant de profiter du temps du rien.
Les arbres se parent de leurs plus belles couleurs ! Du vert, du jaune, du rouge, du orange, du marron... une toile digne des plus belles œuvres, des plus grands artistes !
Tout se joue dans le détail, coup de pinceau de ci, de là...
Un tapis de cyclamens dans les sous-bois et autres pensées dans les parterres se permettent de percer avec leurs couleurs chatoyantes.
Les chapeaux des champignons parfont le décor, apportent de la rondeur, il faut faire le dos rond pour les cueillir... mais la chasse au trésor est délicieuse !
La tête reste un peu plus longtemps relevée pour admirer le spectacle.
Le soleil aussi réservent ses beaux couchés de soleil orangés, encore quelques belles journées entre des journées pleine d'ondées, mais on sent bien qu'il commence à fatiguer...
Il se laisse tomber plus facilement sur l'horizon, l'air est plus frais, les jours plus courts...
Lui aussi se prépare à des jours de repos...
A nos pieds, la mousse se fait moquette duveteuse et l'herbe se fait tendre.
Là aussi, tout nous incite à nous allonger dans ce moelleux irrésistible.
L'automne nous invite à une déchéance joyeuse et pleine d'espoir.
L'espoir d'un renouveau, d'une renaissance, d'une patience fructueuse à une croissance nouvelle...
Se laisser tomber vers le repos, l'ombre et le froid avec l'intime conviction de jours meilleurs...
C'est dans cette transition vers le rien que tout se fait.
Garder ses dernières forces bien à l'abri au creux de soi.
Puis les mettre en terre pour voir pousser et bourgeonner quand le soleil se sera requinqué.
Lucie