Il est comme un parfum...

Formidable. Enfin des mots d’un réel romantisme. Le parfum comme déclencheur d'une rencontre. Peut être, un jour..... Elle a bien de la chance cette inconnue qui t"as entière avec son odeur.

> Citation de **Zababa** #533966 Mille pompons, ton histoire a éveillée Fantômette ! Un plan simple... Françoise présente le livre à un descendant secret de Jean-Baptiste Grenouille qui à hérité de son pouvoir mais l'a mis au service du bien (Fantômette contre le Crapaud). Jean-François Têtard renifle à peine qu'il est en mesure de dire de quel parfum il s'agit. Elle imagine un plan pour retrouvrer la femme mystérieuse aidée de ces fidèles amies, Ficelle et Bouboule, Elles vont créer un faux jeux avec un seul lot a gagner : une bouteille du précieux parfum. Comme pour trouver Cendrillon, il suffit de... Prochaine épisode Mais où est donc passée Fantômette ?

Victoria Mai Je sais pas ce que tu fumes Mais ça doit être de la bonne ,!

> Citation de **Calinette123** #533970-Le parfum comme déclencheur d'une rencontre. Peut être, un jour..... Salut @zababa, Salut à toutes 😊 Je suis optimiste et romantique comme Calinette123....Tu vas peut-être la recroiser dans le quartier où se trouve la boîte à livres...😊

> Citation de **Zababa** #533966 Tu en as de la chance. Quand j'ouvre un livre, soit j'y trouve une vieille carte postale, soit un message énigmatique en première page qui dit *"Je pense à notre rencontre sur le port, à ces instants partagés, cette nuit du 18 juin. Tes baisers sur ma peau sont restés... Pour toi, cette lecture, pour te rappeler nous. Des pensées, mon amour..."*. J'hésite toujours entre l'amusement et la gêne d'avoir à écouter secrètement à la porte de la chambre à coucher des voisins... 😎

Je me souviens, sans arriver à le retrouver, peut-être n'existe t'il que dans ma mémoire imaginee, d'un texte, de Umberto Eco sans doute, qui racontait...(je cite donc, de mémoire)... "Un jour, de ma bibliothèque, je sortis un livre inconnu de moi, dont le titre ainsi que l'auteur ne me disaient rien. Intrigué, je le feuilletais. Au fur et à mesure de ma lecture, mon admiration pour ce texte grandissait. Puis je tombais sur un passage tellement pertinent qu'un trait de crayon l'avait souligné et qu'une main avait inscrit "oui" dans la marge. Febrile, je fis défiler les page comme un folioscope afin de faire ressortir les autres passages que le lecteur inconnu avait noté. Ma stupéfaction fut grande de découvrir une âme sœur. L'inconnu pensait comme moi, quel intelligence, quelle sagacité. Il fallait que je retrouve cet homme, ce frère de pensée. Je laissais le livre ouvert sur la table de la cuisine, à côté de ma tasse de café matinale, et m'enfermait dans mon bureau pour méditer. Le soir, au dîner, mon épouse me dit, j'ai vu que tu avais ressorti ce bouquin que tu avais tant aimé il y à des années et dont tu m'as parlé pendant des semaines ! Cet inconnu, vous l'aviez compris avant moi, n'était autre que moi-même. J'avais perdu le souvenir de ce livre et navais pas reconnu mon écriture."